Silaë

Nous venions d'arriver avec mon jeune étalon, qui de sa vie n'as jamais porté l'homme sur son dos, encore pas débourré, nous nous connaissions depuis sa naissance. J'avais commencer a le débourré et avec l'argent gagné j'avais put le racheter! Il faisait la tête au fond de son champ, il avait refusé de pouvoir aimer ce lieu plus que celui ou il se trouvait avant. Malgré le danger que j'encourais, je rentrait dans son champs, je m'approchai de lui. Et d'un coup il se retournai, montrant les dents, se cabrant battant des antérieurs, me poussant avec violence pour montrer son mécontentement malheureusement pour lui j'avais vécu avec des chevaux, et j'avais finit livré a moi-même a communiquer avec eux. Alors lorsqu'il me bousculait avec méchanceté, je le pinçai en lui tordant la peau pour faire l'effet d'une morsure d'un de ses congénères. Lorsqu'il se levait, je me posai a ses côtés et le déséquilibrer si bien qu'au bout d'un temps, la bataille se transforma en un jeu. Épuisé je m'allongeai dans l'herbe et se gros béta me reniflai les cheveux. Mangeant son herbe a mes côtés.

Au bout d'une demi-heure, je me relevai et l'enfourchait sans lui mettre de licol. Avec mon poids du corps je diririgea mon étalon vers la clôture, il mit un coup de cul et se piqua un galop jusqu'à la clôture, qu'est-ce que je l'aimais ce gros pompadour. Je descendit de son dos a la clôture. Lui passant -contre son gré- le licol, aujourd'hui tout étais prétexte a s'énerver. A l'écurie mon bonhomme se tint tranquille pendant le pansage.

Malgré qu'il m'accepte moi -et uniquement moi- sur son dos, il refusait la selle et tout autre chose de forme humaine ou animal. Ce fut le moment de l'emmener dans le manège. C'est alors que je prit un tapis de selle et le tenant en longe je parcouru le tapis sur ses jambes, je le sentait très agacé. Puis je remontai sur son ventre, et là je ne put le retenir tirant si fort il partit au galop au fond du manège, j'avais les mains en sang. Mais ce n'était pas ça qui me ferait arrêter, mais Silaë avait bien vu l'état de mes mains, et je ne put le toucher avant qu'il ne m'aie sentit et lécher les mains. Je rit a l'idée complétement stupide qu'il devait aimer le sang, alors que ce ne fut qu'un geste amical. Cette fois nous recommençâmes mais avec une vieille paire de gants tacher déjà de sang, et de goudron pour les sabots. Nous recommençâmes ainsi de suite la même chose jusqu'à tant qu'il accepte que le tapis soi sur son dos, et malgré tout la prochaine fois tout ça sera a recommencer comme toute les fois précédente.

Je le ramena dans son champs et il posa sa tête sur ma poitrine... Ainsi nous rentame u long moment, jusqu'à ce que le soleil décline. A ce moment il disparu dans l'immensité de son champs, j'avais regarder la météo je le laisserait dehors, et il en avait envie...


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